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Barucco judas maccabaeus
Almirante capella leopoldina
Vivante resonanzen
Priuli sacrorum concentuum
Vivante melk
CD Cover Al Capriccio

Press reviews

Press reviews for "Le clavecin mythologique"

Bestenliste des Preis der Deutschen Schallplattenkritik für das 2. Quartal 2019!
Die Charakterisierungskunst der Clavecinisten, angesiedelt zwischen Theatralik und innigem Zwiegespräch, bediente sich gern bei den Sujets der klassischen Antike. Anne Marie Dragosits spannt mit solcherart Programmstücken einen Bogen vom Stammvater d’Anglebert bis zu Jacques Duphly, einem der letzten Vertreter des Genres. Ihre Auswahl aus dem gewaltigen Repertoire überzeugt nicht nur dramaturgisch, sie spricht auch den Hörer unmittelbar an. Jede Wendung hat Dragosits auf ihren erzählenden Gehalt hin ausgelotet, nie wird ihr Spiel schematisch. Das kostbare Taskin-Cembalo aus dem Hamburger Museum für Kunst und Gewerbe, auf dem sie musiziert, entwickelt in dieser intimen, transparent-warmen Aufnahme dank Jürgen Brunner überwältigende Farbtiefe.

(Für die Jury: Friedrich Sprondel)

 

Klassik-Cd des Monats im Rondomagazin:
“Vergessen Sie die Drahtkommoden, die sich bis heute selbst in manch guter Einspielung barocker Musik rasselnd und tonlos arpeggierend ihren geräuschvollen Weg bahnen: Cembalo ist etwas anderes, etwas ganz anderes… Dank des Könnens von Anne Marie Dragosits, dank ihrer Imaginationskraft und Kreativität wird vor dem Ohr des begeisterten Hörers eine Klangwelt lebendig, von der man zwar theoretisch wissen konnte, die man aber so einnehmend und in den Bann ziehend vermutlich bisher noch nicht erleben konnte. Dragosits hat sich durch das wundervolle, sorgsam restaurierte Taskin-Instrument zu einer interpretatorischen Meisterleistung inspirieren lassen. Eine Ausnahme-Produktion.”

Michael Wersin, 15.5.2019

The Diapason
“The playing throughout is musically satisfying, historically stylish, and technically agile. The instrument delights in each selection, and be sure to take the time to enjoy the seemingly endless reverberation as the musical bombast of Jupiter slowly dies away at the disc’s conclusion…”

Larry Palmer, May 2019

 

Scherzo, Spanien
“los excepcionales del mes de Marzo”
“Dragosits exhibe una sensibilidad extraordinaria, con unas lecturas soberbias de piezas tales como L’Entretien des muses (Rameau),
Les Grâces (Duphly), La Sensible (Royer, íntegramente ejecutada con el registro de arpa) o Les Silvains y Les Ombres Errantes (Couperin),
donde combina de manera ideal la necesariaflexibilidad rítmica con la fluidez discursiva, sin amaneramiento alguno. No menos acertada se
muestra en los momentos más solemnes…”

Javier Sarría Pueyo, Marzo 2019

 

On-Magazin, France
“Outre l’intelligence du choix des pièces, les jolies transitions et les agréables contrastes, on admire la qualité du jeu d’Anne Marie Dragosits, claveciniste et continuiste autrichienne, passionnée de clavecins anciens. … . On note en effet un spectre très large. Mais également la clarté des registres aigu et médium, comme une résonance non excessive dans le grave qui conserve, lui aussi, une belle clarté. Anne Marie Dragosits montre une empathie certaine pour ce répertoire français et son style narratif.”

Jean-Pierre Robert , Februar 2019

 

Resmusica, Le théâtre sonore du clavecin français par Anne Marie Dragosits
“…L’interprétation très théâtrale d’Anne Marie Dragosits convient bien à l’évocation de ce monde imaginaire et met en valeur les nombreuses possibilités sonores de l’instrument de Taskin conservé au Musée des Arts et Métiers de Hambourg.”

Cécile Glaenzer, Januar 2019

 

Artalinna
“…Mais c’est Royer qui évidemment est à la fête, si heureux de trouver un instrument accordé à son bonheur de la démonstration, à son goût de l’éclat, à sa syntaxe altière, Marche des Scythes en tête. Et quelle magie de cordes très pincées détaille Les Sourdines d’Armide où D’Anglebert fait entrer les effets magiques pensés par Lully ! Alors que les plectres en peau de buffle rendent Les Ombres errantes irréelles, ou L’Imagination de Royer si déconcertante. Il fallait tout l’art d’Anne Marie Dragosits pour arpenter avec tant de poésie et d’à propos ce grand clavecin français au soir de son règne, et transfigurer ses audaces et ses nostalgies dans un instrument qui irait comme un gant à une intégrale François Couperin.”

Jean-Charles Hoffelé, Januar 2019

Press reviews for "Ich schlief, da träumte mir!

Resmusica, “La sensibilité du clavecin allemand sous les doigts d’Anne Marie Dragosits”
Anne Marie Dragosits sert ces pièces avec une sensibilité admirable, sans alanguissement inopportun ni virtuosité trop démonstrative. Elle épouse à l’intérieur de chaque pièce sa poésie intrinsèque, la fait chanter et s’épanouir avec beaucoup de charme. Cette galanterie authentique, c’est-à-dire enracinée dans le sentiment, est sans doute l’essence même de cet Empfindsamkeit où elle voulait nous emmener.

Matthieu Roc

 

Quobuz
Témoignage suprême d’une claveciniste discrète, à la musicalité captivante, ce récital « Ich schlief, da träumte mir », au programme fort original dans son élaboration, et aux enchaînements souvent très subtils (le choral Komm süßer Tod de J. S. Bach avec la Sonate biblique n° 4 de Kuhnau), ne doit pas se déguster autrement que comme une déambulation, d’autant que l’instrument demeure lui-même un perpétuel enchantement, avec ses basses incroyablement profondes et son jeu de luth à la beauté renversante ; et si tout ceci vous fait peur, commencez peut-être par le Sommeille de la Suite « Febrarius » de Graupner : un tel moment de douceur capricieuse, ou de tendresse vigoureuse, ne vous laissera sans doute pas au bord du chemin !

Pierre-Yves Lascar

 

Artalinna, Les visages du sommeil
Entre deux mondes donc, cette claveciniste sensible et brillante dévoile les feux du grand clavecin signé par Zell en 1728 et restauré par Martin Skowroneck en 1973 – l’instrument est pieusement conservé au Musée de Hambourg -, éblouissant ce répertoire rare de ses couleurs si vives, faisant chanter les polyphonies dans ses registres contrastés, animant dans le foisonnement de sa richesse harmonique les libertés et les inventions de tout un pan de l’histoire de la littérature du clavecin.

Jean-Charles Hoffelé